Page 1 – Présentation | Page 2 – Petit tour du propriétaire |
Page 3 – Protocole de tests | Page 4 – Résultats 1ère partie |
Page 5 – Résultats 2ème partie | Page 6 – Conclusion |
Le Clevo P150HM, tout comme son grand frère P170HM, est loin d’être un ordinateur portable « Jacky Touch ». Tout y est noir sans aucune touche de couleur. Certains le qualifieraient d’infâme brique austère, d’autre y verront la quintessence de la sobriété. Comme toujours, les goûts et les couleurs sont purement personnels mais pour ma part je pencherais pour un mixe des deux.
Le dos de l’écran, tout comme la partie sous le clavier que nous verrons un peu plus tard, reçoit un traitement « Soft Touch » que nous avions jusqu’à présent l’habitude de rencontrer sur certaines productions Alienware. Pour ma part je trouve cette matière très agréable au touché mais surtout cela évite les vilaines traces de doigts que l’on trouve inévitablement sur les peintures vernies. Attention cependant, cela n’empêche pas pour autant les traces de gras.
La sobriété de la robe n’empêche pas la présence de toutes les connectiques que l’on peut attendre d’un tel modèle. Commençons par l’avant.
C’est plutôt vite fait puisque nous n’y trouvons rien du tout. Pas vraiment en fait puisque se cache sur l’image un petit récepteur infrarouge qui doit servir sur certains modèles équipés de série d’une carte tuner par exemple et donc d’une télécommande et les deux leds d’activité de tension de la machine.
Passons aux côtés gauches et droits de la machine.
Les principales prises y sont présentes avec pour la partie gauche : la prise réseau Ethernet RJ45, deux ports USB 3.0, un port USB 2.0, une prise Firewire IEEE-1394a et le lecteur de cartes mémoire 9 en 1 (MMC / RSMMC / SD / Mini SD / SDHC / SDXC / MS / MS Pro / MS Duo). Sur la droite nous trouvons : le lecteur optique, quatre prises audio (casque, micro, sortie S/PDIF et entrée) un port USB 2.0 et l’emplacement du verrou Kensington.
Passons à l’arrière.
Nous y trouvons de gauche à droite : l’extracteur d’air chaud de la carte graphique, la prise combo USB 2.0 / eSATA, la prise HDMI, la prise DVI-I, la prise d’alimentation électrique et enfin l’extracteur d’air chaud du processeur. Et oui, chacun des deux composant dégageant le plus de chaleur sont équipés d’un système de refroidissement. Il ne faut pas perdre de vue que ce Clevo P150HM est tout de même capable d’intégrer une carte graphique NVIDIA GeForce GTX 485M et un processeur Core i7-2920XM.
Ouvrons l’écran pour découvrir le clavier ainsi que le dispositif de pointage.
La partie située sous le clavier malheureusement de type chiclet, reçoit également un revêtement Soft Touch. Autant cela est très agréable pour y reposer les poignets, autant se revêtement est tout simplement immonde au niveau du touchpad. La sensation est très vite désagréable et le besoin d’utiliser d’une souris se fait très vite ressentir. Entre les deux touches de clic du touchpad nous trouvons le lecteur d’empreinte si agréable à utiliser pour ceux qui jonglent avec 36 mots de passes.
Le clavier est donc de type chiclet. Je ne m’étendrais pas ici sur ma pensée de ce type de clavier. Au dessus de ce dernier se trouve une fine grille noire sous laquelle se cachent deux petites enceintes que je qualifierai d’appoint.
Comme vous pouvez le constater, aucune touche d’accès rapide n’est présent et tout se fait par l’intermédiaire des traditionnelles combinaisons de touches Alt + Fn + Fx. Seul le bouton de mise sous tension se trouve à la gauche de cette grille. De chaque côté de cette grille se trouvent les différentes leds d’activité avec à gauche : le pavé numérique, le Caps Lock et l’arrêt défilement. A droite nous trouvons : l’activité du disque dur, la mise sous tension du module WiFi et enfin du module Bluetooth.
Comme je vous le disais, c’est sobre. Très sobre. Terminons à présent par le dessous de la machine et ses entrailles.
L’ouverture se fait simplement : 4 petites vis à ôter puis il suffit de faire légèrement glisser la plaque vers le haut afin de pouvoir l’enlever tranquillement. Pour l’emplacement de l’unité de stockage c’est encore plus simple puisque seules 2 vis tiennent la petite trappe spécifique en bas au milieu. Une fois les trappes ôtées nous avons un accès relativement aisé aux différents composants.
Machine d’intégration montée, la garantie s’applique sur chaque composant et si vous désirez changer l’unité de stockage ou bien la mémoire, pas de problème, vous pouvez tout à fait le faire.
Voilà, vous connaissez à présent la machine LDLC Bellone GA1-I7-16-S2, il est temps à présent de vois le protocole de tests que nous lui avons fait subir.
Soyez le premier à commenter