Ragemag a publié une longue interview du sénateur Bruno Retailleau. Il revient en détail sur le rapport intitulé Jeux vidéo : une industrie culturelle innovante pour nos territoires.
Exceptée la première partie de l’interview, largement dispensable puisqu’on ressort les vieux écueils sur la dépendance aux jeux vidéo, les propos du rapporteur de la commission dressent un portrait assez sombre de l’industrie française du jeu vidéo. « Le modèle français se caractérise par des vaisseaux amiraux comme Ubisoft et un écosystème de petites entreprises. Aujourd’hui, pour bénéficier du crédit d’impôt jeu vidéo, il faut un budget au minimum de 150 000 euros. C’est ridicule. Il faut abaisser ce seuil. Justement pour permettre le renouvellement des petites entreprises à côté des grands champions nationaux – qui n’ont pas tellement besoin d’aide si ce n’est de vivre dans une économie plus compétitive que l’économie française« , précise le sénateur Bruno Retailleau. Avant de rappeler quelques propositions de la commission.
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