
Clémentine et les zombies de The Walking Dead font leur grand retour. La série interactive de Telltale a dévoilé son premier épisode. Et on ne change pas une équipe qui gagne.
Telltale est passé maître de ces séries interactives qui mêlent avec habilité point’n’click et QTE. Après le succès de la première saison de The Walking Dead, nous avons déjà eu droit à The Wolf Among Us, adapté du comics Fable, et on attend Game of Throne ou Tales From the Borderlands sur le même principe.
Quand on connaît ce calendrier, on ne peut s’empêcher de se demander si Telltale saura se renouveler assez pour nous captiver. All That Remains est une lueur d’espoir. Plein de zombie mais une lueur d’espoir quand même. Dans cet épisode, vous incarnez Clémentine, une petite fille que vous avez dû protéger tout au long de la saison. Un choix qui permet de donner un angle de vue original à l’histoire.

Difficile de parler d’All That Remains sans faire dans le spoiler : son principal intérêt réside dans son histoire et les larmichettes que les aventures de Clémentine – vos aventures, ne manqueront pas de provoquer. Préparez-vous à souffrir. Notez que vous pourrez conservez vos choix de la saison 1.
Côté gameplay, c’est strictement identique au précédent. Des passages de simili-explorations où de toute façon on vous dit où cliquer. Il faut les considérer à mon avis davantage comme des moments de calmes avant des tempêtes émotionnelles ou zombiesques. Rien de neuf mais c’est toujours aussi efficace. Le rythme des phases plus action est plus relevé que dans la première saison, à l’image de ce que l’on a pu voir dans The Wolf Among Us.

Faut-il dès lors se ruer sur cette saison 2, comme un zombie sur un cerveau frais, sachant que Teltalle ne vend que la saison complète. Le premier épisode est court. Il se boucle en 1h30, montre en main. On peut être tenté par contre de le refaire pour varier ses choix. Encore faut-il être prêt à patienter pour les épisodes suivants.
Dans le même temps, cette mise en bouche donne envie de voir la suite et le prix n’est pas excessivement élevé. En farfouillant sur le net, on peut se le procurer pour une grosse quinzaine d’euros. J’espère juste que ça ne finira pas comme la saison des bûches de Noël : avec un écoeurement certain.
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